"Si la capacité des cons à s'auto-éliminer ne doit pas être négligée, la volonté effarante du monde moderne et de l'Etat-providence à les sauver rend vain tout espoir de sélection naturelle"

"Il y a deux aristocraties : celle du haut et celle du bas. Entre les deux, il y a nous, qui faisons la force de la France.

vendredi 3 mars 2017

Quasi guerre civile ou quasi de veau ?



Or donc, François Fillon a ouvertement accusé le gouvernement d’entretenir un climat de "quasi guerre civile".
Aussi sec, le Premier ministre et ses nains de jardin de l’intérieur et de la Justice ont qualifié ses propos d’allégations mensongères, de tentatives de diversion grossière et autres amabilités. Et Manu la Mâchoire, tout récemment viré par sa famille, se drape dans sa dignité pour faire observer que de tels propos sont irresponsables de la part d’un candidat à la magistrature suprême, lequel se doit, hein, de rassembler

C’est vrai que tout va bien :


A-t-on déjà vu une campagne d’élection présidentielle au cours de laquelle le Système s’acharne à détruire un candidat qu’il déteste, l’ensemble des prétendants ne pouvant candidater publiquement sans une armée mexicaine de gardes du corps, de policiers en civil, de gendarmes et autres CRS, et se déplaçant dans un climat palpable de haine et de violence ?

A-t-on déjà vu un espace public dans lequel il n’est plus possible de vaquer tranquillement sans être contrôlé, fouillé, identifié, suspecté ? Espace public devenu un lieu de risque, de danger, de stress, sillonné par des militaires armés jusqu’aux dents.

A-t-on déjà vu dans l’histoire de France des villes entières interdites à la police, à la justice, aux Français “de souche” ? Villes devenues des territoires étrangers, prêts à en découdre avec les « franchouillards ».

A-t-on déjà vu un pays survivre à une invasion organisée par les élites du pays envahi, entraînant un cortège d’insécurité et de violence, et des coûts gigantesques qui creusent des déficits déjà abyssaux ?

A-t-on déjà vu un président de la République se précipiter au chevet d’un délinquant immigré, mais ne pas avoir le moindre geste pour des policiers attaqués au cocktail Molotov et gravement brûlés en banlieue sud, les meurtriers en puissance étant d’origine immigrée ?

A-t-on déjà vu des dirigeants politico-économiques constater avec gourmandise que l’économie de la France s’écroule à grande vitesse, mais proclamer que, sans rien faire de significatif, demain il fera jour ?

A-t-on déjà vu un tel massacre de la jeunesse, à qui plus rien de construit, de noble, de beau, de vrai, de bien n’est proposé, le but suprême de la vie n’étant que la jouissance individuelle, nourrie par la déferlante pornographique qui tue très sûrement la jeunesse en question ? D’où la violence extrême des Nuit debout ou autres casseurs de Nantes, de Rennes ou d’ailleurs, qui ne sont que l’arbre qui cache une forêt qui ne demande qu’à s’enflammer.

A-t-on déjà vu une telle dépression chez les Français, analysée et confirmée de mois en mois par des instituts spécialisés, qui affirment que celle-ci caracole à des niveaux jamais atteints ?

A-t-on déjà vu un gouvernement aux abois prendre, semaine après semaine, des mesures dramatiques et honteuses, avant de prendre tout aussi honteusement la fuite dans quelques semaines, vers des postes dorés créés sur mesure pour assurer à ses membres des fins de vie financières heureuses ?

A-t-on déjà vu la franc-maçonnerie s’afficher à ce point publiquement comme une institution de gouvernement, affirmant sans complexe tirer les ficelles de la déconstruction de la France ?

A-t-on déjà vu l’Église se soumettre à ce point à l’idéologie mortelle des élites, qui n’affichent qu’un seul objectif : détruire la France qu’ils haïssent ?

Pour toutes ces raisons, le climat devient peu à peu insurrectionnel : une étincelle pourrait déclencher des troubles graves, voire même une guerre civile bien difficile à juguler, tant le possible chaos risque d’être multiforme, et donc immaîtrisable. Pour chacun d’entre nous, le temps du courage a sonné.
François Billot de Lochner, le 3 mars sur Liberté Politique


4 commentaires:

  1. Mais où est le quasi de veau, ce qui m'avait irrésistiblement attiré à lire votre chronique du jour, la guerre civile étant de toute façon au programme?

    Frans

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    1. Il était quasiment prêt pendant que j'étais au clavier. Maintenant il n'y en a plus, j'en suis au fromage...

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  2. Non, on n'a jamais vu tout cela auparavant, de mémoire d'homme (ou de femme) encore en vie. Ce qui nous confirme bien que "le changement, c'est (ou c'était, bientôt) maintenant". Et c'est pas à Mamie Nova qu'on doit dire merci ...

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  3. kobus van cleef05/03/2017 18:53

    dans la marmite ,avec quelques navets , le quasi de veau , c'est bon , c'est goutû
    enfin,j'aime assez
    et vous?

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